Le samedi 6 décembre, j’allais en éclaireur jusqu’à la Tour Charlemagne, rue des Halles où nous devions retrouver notre guide, Céline. Comme il n’était que 9h 20, personne n’était encore arrivé puisque le rendez-vous était fixé à 9h 30.
A 9h 30, les 22 inscrits étaient là, frigorifiés, mais pressés de se cultiver encore un peu plus en écoutant la bonne parole.
Vent du matin, vent frais au pied de la Tour Charlemagne. Et nous marchâmes le long des petites rues étroites du Vieux Tours pendant plus de deux heures, mais avec des arrêts, des visites de cours, de places, de façades.
A 11h 30, Céline nous laissa près de la Place Plumereau et certains commençaient à avoir une petite faim et les jambes un peu lourdes, mais notre crêperie « Mamie Bigoude n’ouvrait qu’à midi.
Les adeptes du shopping purent s’en donner à cœur joie en attendant.
Enfin, les portes s’ouvrirent et chacun put consulter la carte et choisir, mais le service fut long.
Nous nous dirigeâmes ensuite vers le Musée du Compagnonnage où nous eûmes une présentation du compagnonnage en France par une charmante conférencière. Puis, chacun put visiter le musée à son rythme.
Vers 16h, nous prîmes la Rue Colbert pour nous rendre au musée des Beaux-Arts près de la cathédrale Saint Gatien. Nous y retrouvâmes Jean-François MARTINE, notre professeur, ainsi que deux autres adhérentes.
Jean-François nous commenta l’exposition « Dans la lumière de l’impressionnisme Edouard Debat-Ponsan » (1847-1913). Exposition intéressante de ce peintre devenu tourangeau et méconnu.
Mais la nuit vint à tomber et il nous fallait rentrer dans la Vallée du Cher après cette journée très intéressante et conviviale, comme d’habitude.
Claude PALAPRAT
(Les photos sont de Brigitte ARBEILLE, sauf celle de l’exposition)
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